Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Texte commandité

Travailleur autonome : comment ne pas rester isolé ?

durée 15h36
5 septembre 2018
ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
email
Par Texte commandité

 

Être travailleur autonome présente bien des avantages : on est seul maître à bord, il n’y a pas de hiérarchie, ni d’horaires de travail à respecter, ni déplacement aux grandes heures du trafic routier… Le travailleur autonome se verse lui-même un salaire et ne craint pas d’être licencié. Néanmoins, il travaille seul alors qu’il est important pour le moral de garder une vie sociale active. Quelles sont les solutions pour une vie professionnelle épanouie ?

Ne pas rester confiné à la maison

  • Opter pour des bureaux à partager est une solution à la fois abordable financièrement et enrichissante sur le plan professionnel. Le coworking, très à la mode, permet de louer un bureau à la journée ou au mois. Idéal quand le moral est en berne ! C’est là l’occasion aussi de rencontrer d’autres professionnels, d’échanger des conseils ou de partager des expériences.

Il est possible d’y organiser des réunions avec vos fournisseurs ou vos clients grâce aux équipements proposés. Parfois, le stationnement y est même gratuit pour quelques heures.

Vous pouvez même bénéficier d’un service de réception de vos appels, tel un secrétariat classique, mais sans salaire à verser.

  • Participer à des évènements professionnels, en plus de vous faire sortir de la maison, vous apportera de nombreuses informations sur votre secteur d’activité : devenez conférencier, visitez des salons, exposez vos produits ou services.
  • S’inscrire à une formation, un cours d’anglais par exemple, histoire d’ajouter une compétence à votre savoir-faire et développer, qui sait, votre activité à l’étranger. Vous rencontrerez par la même occasion d’autres personnes. Un cours de comptabilité peut également s’avérer utile pour la gestion de votre entreprise : mieux connaître les règles fiscales, échanger des astuces…

Rejoindre un réseau de travailleurs autonomes

Qu’il soit virtuel ou physique, l’important est d’échanger. Le plus célèbre réseau professionnel est LinkedIn : créez un groupe ou rejoignez-en un. 

Organiser sa journée

L’idée de rester en pyjama reste bien séduisante, mais à la longue, vous pourriez bien souffrir de cette image négligée. Habillez-vous avant de vous mettre au travail, vous vous sentirez bien mieux.

Ménagez-vous des pauses, mais à l’extérieur : allez marcher à la pause dîner ou faites une heure de sport (vélo, footing, salle de fitness ou de musculation, piscine…). Vous vous changerez les idées et vous verrez du monde. Puis retournez travailler, comme on va au bureau !

Choisir le statut de travailleur autonome implique un choix de vie très différent de celui d’un collaborateur salarié, il faut donc s’organiser en conséquence pour jouir pleinement de cette liberté.

 

commentairesCommentaires

0

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


durée Hier 9h00

Crises sociales: les actrices et acteurs du travail social font front commun

De nombreux acteurs des services sociaux du Québec ont fait front commun pour dénoncer un contexte sociétal caractérisé par de multiples crises sociales, écologiques, économiques, démographiques et climatiques, dans le cadre du sommet des premiers États généraux du travail social en 25 ans, tenu vendredi et samedi à Montréal. Les États généraux ...

19 avril 2024

Technologistes médicaux: une pénurie silencieuse qui crée des retards dans le réseau

Travailleurs de l'ombre et métier méconnu du public, les technologistes médicaux sont essentiels pour traiter les patients. Toutefois, une «pénurie critique» de technologistes sévit présentement au Québec, ce qui engendre des retards dans le réseau de la santé.  Les analyses effectuées par les technologistes médicaux permettent au médecin de ...

19 avril 2024

Les besoins en psychologues seront comblés en 2026, estime le ministre Carmant

Les besoins en psychologues dans le réseau de la santé seront pourvus dans deux ans, selon les estimations du ministre des Services sociaux, Lionel Carmant.  Lors de l’étude des crédits budgétaires, jeudi, il a expliqué qu’il y avait 2271 psychologues actuellement dans le réseau et que les besoins se situaient à 2340, pour cette année, donc un ...