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L'ancienne cheffe de l'Assemblée des Premières Nations poursuit l'organisation

durée 14h02
20 juin 2024
The Canadian Press, 2024
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1 minute

Par The Canadian Press, 2024

OTTAWA — L'ancienne cheffe nationale de l'Assemblée des Premières Nations (APN) poursuit l'organisation et son exécutif pour diffamation et rupture de contrat, demandant 5 millions $ de dommages et intérêts.

RoseAnne Archibald, qui a été évincée de son poste en juillet dernier, allègue qu'un «certain nombre de mesures illégales» ont été prises à son encontre, notamment sa suspension de son poste de cheffe nationale.

Après avoir été élue, elle avait demandé à l'APN d'embaucher un cabinet de juricomptabilité pour examiner ses livres.

La poursuite allègue que l'exécutif a ensuite «lancé une campagne visant à la mettre à l'écart et finalement à l'évincer de son poste de cheffe nationale».

Dans un communiqué, l'APN déclare qu'elle ne fera aucun commentaire tant que l'affaire ne sera pas résolue par une procédure judiciaire.

Le ministre des Relations Couronne-Autochtones, Gary Anandasangaree, a affirmé que l'APN est un «partenaire précieux» pour le gouvernement fédéral et qu'il n'interviendra pas sur les questions internes.

La Presse Canadienne