L'homme sera de retour le 9 mars prochain devant la Cour
La police recherche d'autres potentielles victimes d'agressions sexuelles de Mohamad Mahdi

Par Salle des nouvelles
En octobre dernier, le Service de police de Laval a procédé à l’arrestation de Mohamad Mahdi, âgé de 31 ans, pour des agressions sexuelles survenues à Laval et sur la Rive-Nord. Ils ont des raisons de croire que d'autres victimes de ce type d'actes ont été agressées et enjoignent ces dernières à porter plainte.
Au moment des faits, l’accusé travaillait comme technicien informatique pour une entreprise de câbleau distribution. Il se serait présenté chez la victime pour installer les produits demandés le 26 juillet 2019, à Sainte-Thérèse de Blainville, et le 6 septembre, à Laval. En commençant les travaux, il aurait profité de l’occasion pour poser des questions intimes et faire des attouchements sexuels.
L’accusé a comparu le 17 octobre 2019 au Palais de justice de Laval sous plusieurs chefs d’accusation, soit: agression sexuelle et séquestration. Il a été libéré avec des conditions à respecter et il sera de retour à la cour le 9 mars prochain. Le SPL a des raisons de croire que l’accusé aurait pu faire d’autres victimes. Toute personne qui aurait été victime de cet homme est invitée à contacter le SPL, afin de déposer une plainte officielle.
La structure de gestion des enquêtes sur les crimes en série (GECS), coordonnée par la Sûreté du Québec, est actuellement déployée. Il s’agit d’une structure de commandement unifié au sein de laquelle les services de police québécois travaillent en partenariat afin d’identifier rapidement les crimes commis par des prédateurs et de procéder à leur arrestation. Cette coordination provinciale permet donc une mise en commun des ressources policières et vise à mieux protéger les victimes.
1 commentaires
Pour partager votre opinion vous devez être connecté.
Et je crois que vous incitez tout le monde à la haine et la discrimination envers mon mari . Il est en liberté parcequ' il est innocent, il y en a aucune preuve de son culpabilité . Je vais poursuivre chaque personne qui a contribué à la situation actuelle de ma famille. Vous nous avez anéantis sans aucun respect ni jugement d'un juge. Lors de la réunion avec la police
Les accusations étaient non fondées. En plus les présumés victimes ne répondaient plus aux appels de police pour continuer l'enquête.