Convention collective acceptée par le personnel
Entente conclue entre le Syndicat des cols bleus de Laval et la Ville
Le Syndicat des cols bleus de Laval avec la Ville signera sa nouvelle convention collective. Le personnel col bleu a voté à 83 % en faveur de la proposition de règlement du médiateur.
La convention collective sera d’une durée de six ans, soit du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2027. Elle sera présentée prochainement au comité exécutif de la Ville de Laval pour confirmer son entrée en vigueur.
Des gains d’efficience et une plus grande flexibilité
Les principaux gains opérationnels sont des horaires de travail revus et plus flexibles offrant une meilleure stabilité des services citoyens et permettant de réduire les heures supplémentaires et une bonification des équipes de travail les fins de semaine et pendant la période hivernale, dont la durée sera plus flexible.
De plus, elle comprend l’ajout de postes permanents pour les quarts de fin de semaine afin d’assurer un service citoyen plus constant en tout temps et la possibilité pour certaines équipes de prolonger de 3 heures leur journée de travail afin de finaliser une tâche entamée.
Finalement, elle compte une plus grande efficience dans l’affichage de postes permettant de réduire certains délais de 50 %.
« La ratification de cette entente avec les cols bleus marque un nouveau chapitre pour la Ville de Laval. C’est une entente qui satisfait les besoins de nos travailleurs et travailleuses, qui respecte la capacité de payer de la population lavalloise et qui jette les bases d’une organisation du travail plus efficace. Je salue la volonté des cols bleus de Laval d’entamer ce chantier. », indique Stéphane Boyer, maire de Laval.
« L’efficience des services municipaux est une priorité pour notre administration. Cette nouvelle convention collective reflète l’engagement commun de la Ville et de ses cols bleus d’offrir une prestation de service à la hauteur des attentes et des besoins évolutifs de la population lavalloise. Je tiens à remercier nos équipes pour le maintien des opérations et d’environnements de travail convenables pendant le processus de négociation. », ajoute Benoit Collette, directeur général de la Ville de Laval.
 
                    
                



 
                        
                        
                    


 
                             
                            