Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Le dossier des dos d’âne intéresse toujours Jacques Saint-Jean

durée 10h21
8 octobre 2014
1ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
Ghislain Plourde
email
Par Ghislain Plourde, Journaliste

Le conseiller municipal de Saint-François, Jacques Saint-Jean, revient à la charge. Il réclame l’installation de dos d’âne à certains endroits stratégiques sur l’île Jésus.

L’élu de l’est de l’île est revenu à la charge sur ce dossier lors de la dernière réunion du conseil municipal, lundi soir dernier 6 octobre.

Il a de nouveau réitéré l’intérêt d’implanter un projet-pilote sur cette question dans son  district. En août 2013, en entrevue à L’Écho de Laval, Jacques Saint-Jean avait proposé la rue Paré, à proximité de l’école Hébert, comme site d’expérimentation.

Il avait, alors, chiffré le projet-pilote à 5000 $.

Le maire de Laval, Marc Demers, lui a indiqué que le comité Circulation, qui se réunit en octobre, étudiera la question et reviendra avec une décision prochainement.

Le conseiller Saint-Jean a manifesté le désir d’être entendu par ce regroupement.

À lire, également, à ce sujet :

Des citoyens réclament des dos d’âne

Un appui populaire aux dos d’âne

commentairesCommentaires

1

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

  • P
    Pleinledos
    temps Il y a 9 ans
    J'ai des réserves quant à l'installation de dos d'âne. Il y a déjà les panneaux de signalisation qui jouent leur rôle. Et aussi les caméras de surveillance qui se répandront partout. Il faudrait que les dos d’âne permettent de ne pas ralentir la limite de vitesse déjà établie, ce qui n’est jamais le cas. Il y a une limite à offenser le jugement des automobilistes par des entraves de plus en plus nombreuses. Ces dos d’âne contredisent l’esprit de l’article 3,1 du Guide de la détermination des limite de vitesse sur les chemins du réseau routier municipal, qui se fie en premier lieu au jugement de l’automobiliste. C’est assez frustrant quand il faut ralentir en bas de la vitesse permise et que ces dos d’âne sont trop nombreux. La rue ne doit pas devenir un manège de montagnes russes. Ils doivent donc être allongés en conséquence, ce qui est difficile à réaliser. De toute façon, les dos d’âne créent un roulis désagréable pour les passagers des véhiculent routiers et sollicitent inutilement la suspension mécanique de ces derniers. Les dos d’âne sont un obstacle aux conséquences qui peuvent être désastreuses aux véhicules d’urgence en les ralentissant d’une façon indue. Ils doivent dépasser les basses vitesses, mais ils sont munis des signaux lumineux et sonores qui neutralisent le danger que représente leur plus haute vitesse nécessaire.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


La ministre Guilbault convoque les maires responsables des sociétés de transport

La ministre des Transports, Geneviève Guilbault, a convoqué les maires responsables des sociétés de transport pour une rencontre qui doit avoir lieu lundi. L'attaché de presse de Mme Guilbault, Maxime Roy, a confirmé vendredi matin l'information relayée d'abord par Radio-Canada. Il sera question lors de cette rencontre «des enjeux liés au ...

1 mai 2024

Loi pour protéger des élus: un organisme craint une application «abusive»

La Ligue des droits et libertés (LDL) critique vertement le projet de loi 57 qui vise à protéger les élus contre les menaces de citoyens, prétextant «l’existence de risques sérieux d’atteintes aux libertés fondamentales d’expression, d’opinion et d’association». L’organisme croit également que la pièce législative pourrait faire craindre à des ...

30 avril 2024

Taxe sur l'immatriculation: les villes dénoncent des frais «prohibitifs»

Les municipalités dénoncent des frais administratifs «prohibitifs» liés à la taxe d’immatriculation destinée au financement du transport collectif. En décembre, le gouvernement du Québec a fait adopter une loi qui permet aux villes de taxer les véhicules en fonction de leur consommation d’essence. «Les municipalités qui souhaitent se prévaloir ...