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Avenir Laval dénonce l'improvisation continuelle de l'administration Demers

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20 octobre 2017
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Par Salle des nouvelles

Il suffit de suivre les actions et rétractions de l'administration Demers pour confirmer que la ville de Laval est entre les mains d'un pouvoir désorganisé, inexpérimenté et improvisateur. Bien sûr, ce sont les contribuables qui payent toujours la note de ces idées complètement inappropriées. 

C'est soudainement à 18 jours des élections que le maire Demers décide d'installer non pas un, mais bien dix dos d'ânes dans le district Laval-les-îles. Avenir Laval a diffusé publiquement son engagement à ajouter des dos d'ânes dans les intersections stratégiques de la ville dans son programme électoral le 14 septembre. Notre candidate dans Laval-les-îles, Josée Trépanier, a également publié un message, sur sa page Facebook le 3 octobre dernier, concernant son indignation face à l'absence de sécurité routière dans le quadrilatère que l'on voit dans les photos ci-haut. Elle souhaite venir en aide aux citoyens vivant avec ce problème depuis plus de cinq ans.

« Pensez-vous vraiment que la 59e avenue aura moins de circulation? J'en doute énormément. J'ai une solution à proposer aux citoyens et cela me fera plaisir d'en discuter avec les personnes concernées une fois élue. En quatre ans, je n'ai jamais vu autant de camion de la ville dans mon quartier. Le maire doit être désespéré pour installer dix dos d'ânes à deux semaines des élections. Cela démontre simplement qu'il sait qu'il n'est pas à la hauteur et qu'il ne fait que copier les idées des candidats qui savent être à l'écoute de leurs concitoyens.», clame Josée Trépanier.

Il faut également mentionner que la carte interactive des mesures d'apaisements ne tient pas compte des ces ajouts. La seule chose qui était planifiée sont les fameuses lignes bleues et blanches sur de l'asphalte craquelé ainsi que trois modules de vitesse qui ont été finalement abandonnés le 10 septembre dernier.

Plus encore, nous avons appris de source fiable que le contrat pour l'ajout de ces dos d'ânes par la ville n'a pas été donné aux cols bleus, qui sont les seuls à y ouvrir droit normalement, mais plutôt à une entreprise privée. 

« En plus de prendre des décisions irréfléchies, le maire octroi des contrats à des fournisseurs externes dans des projets relevant des employés de la ville. Les cols bleus ont pour mission d'offrir un service de qualité aux citoyens en ce qui à trait à l'entretien et à la réparation de tous les équipements municipaux. Ceci est inadmissible.», soutient Sonia Baudelot.
  
Citoyens de Laval ne soyez pas dupe ! L'administration Demers avait quatre ans pour faire de Laval une ville sécuritaire, juste et moderne, et à moins de 2 semaines des élections, elle s'invente des engagements.

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